Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

 

 Qahir Phylès

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




Qahir Phylès Empty
MessageSujet: Qahir Phylès   Qahir Phylès Icon_minitimeLun 14 Jan - 20:44

Qahir Phylès




Nom : Phylès.


Prénom : Qahir.


Age : cinquante-cinq ans.


État civil : marié, pas d’enfant (Qahir ne souhaite pas faire subir le même entraînement à ses enfants que celui que lui-même a subi).


Race : humaine (que voulez-vous, la banalité même relative est la meilleure des originalités).


Profession : vendeur d’armes au service du plus offrant (comme d’habitude, vive l'extravagance...).


Camp : Roland (mais bon, un commerçant peut se révéler plein de surprises…).


Adresse : pas de numéro de maison dans des quartiers mal famés, pas de nom de rue non plus, juste un surnom donné par les ivrognes du coin : Le Paradis…


Père : Pélops Phylès, mort depuis 25 ans à peu près.


Mère : "né de mère inconnue", déclare le registre de l'État civil…


Frères et sœurs : fils unique, ce qui lui a conféré un certain égoïsme…


Autres membres : ce n’est pas un membre de sa famille, mais Qahir entretient de très bonnes relations avec une jeune fille qui passe de temps en temps dans sa rue, très intéressée par les armes de l’étalage…


Description physique :

Quand on croise Qahir dans la rue, on aperçoit d’abord de loin un homme grand, d’un mètre quatre-vingts environ, avec un corps fluet comme celui d’une jeune fille ; puis en se rapprochant, on distingue au premier abord sa barbe, d’une couleur indescriptible tremblant entre le rouge et le jaune. Cette barbe est des plus soignées, on la remarque donc d’emblée. Quant au reste du visage de Qahir, il est vraiment banal, hormis une lueur permanente dans ses yeux, qui intrigue sans pour autant faire peur. Sa bouche, deux petites lèvres pincées, ressemble plus à celle d’une jeune fille de dix-sept ans tout au plus qu’à celle d’un homme de cinquante-cinq ans qui a vu passé un certain nombre de mètres cubes d’eau sous les ponts. Ses cheveux sont châtains et bouclés, son nez effilé et fin, ses oreilles décollées mais pas très grandes, ses traits de visage (contraste majeur avec son allure de jeune fille dûe à ses lèvres et à son tour de taille) un peu grossiers, ridés par l’âge mais encore agréables sous la mince couche de graisse qui a rendu son visage bouffi avec le temps. Enfin, la description du corps de Qahir peut être résumée rapidement : il laisse toujours deux ou trois boutons de son vêtement du haut ouverts, laissant entrevoir une poitrine velue d’humain déjà âgé ; du fait de la prospérité de son commerce, dûe à un grand achat d’armes chez Roland, le grand Qahir ne s’habille jamais de guêtres, mais il a su rester simple malgré l’argent que lui rapportent les nombreux conflits internes de la cité…



Description morale :

On dit souvent à Qahir qu’il ferait un excellent politicien par son absence de morale et de convictions précises. Mais il se défend d’avoir jamais été du côté de « l’infâme Karos » ; néanmoins, certains ne jugent pas valable la parole de Qahir et doutent de sa fidélité envers le camp de Roland ; on va même jusqu’à encourager son arrestation pour diverses raisons, la plupart fantaisistes… Mais tout cela n’aboutit jamais à rien, faute de preuve à l’encontre du sympathique commerçant, et puis c’est tout de même lui qui a fourni plusieurs générations de combattants du camp de Roland, ce qui n’est jamais négligeable dans une accusation (même fondée).

Enfin, toujours est-il que, malgré quelques mouvements de foule dans sa rue, Qahir est plus heureux que jamais. En effet, sa boutique tourne toujours de sept heures du matin à huit heures du soir car les acheteurs sont le plus souvent des passants dont la bourse fait rouler de doux yeux à la majorité des boutiquiers de la rue… Qahir se voit donc dans l’obligation de ne fermer son échoppe que la nuit ; mais il ne lui déplaît jamais de fermer une petite heure plus tard qu’à l’accoutumée parce qu’il discute avec un des habitués du quartier…

Dans son comportement, Qahir possède un défaut réel et accepté par tous : il est un égoïste implacable. En dehors de ce défaut décidément visible, Qahir est quelqu’un à qui on peut se confier sans trop de risque, quelqu’un toujours à l’écoute (comme tout commerçant digne de ce nom) ; bref, personne sauf les sceptiques ne tarit d’éloge sur ce personnage de l’armement rebelle que tout le monde connaît à cause de sa capacité à attirer les gens vers son magasin rien qu’en souriant…

Malgré tout ce qui a été dit ci-dessus, ne prenez pas Qahir Phylès pour un ange ou un dieu, il n’en est pas un. Il a effectivement des défauts, moins notables que son égoïsme : comme certains de ses collègues commerçants d’armes, Qahir est un petit peu « sexiste sur les bords » comme il le dit lui-même… ; il a tout simplement l’impression que les femmes ne devraient pas rôder près de marchands tels que lui, surtout pas des filles de l’âge de cette petite que Qahir apprécie malgré tout ce qu’il pense de la présence féminine au bout d’une épée ou autour d’un poignard. Il ne l’aime pas d’amour, parce qu’il est marié et qu’il aime sa femme à tout rompre mais il aime tout de même cette enfant de quatorze ans à première vue dont il s’est aperçu de l’intelligence. Une belle amitié est à présent basée sur sa venue hebdomadaire devant le magasin, sur les conversations qu’ils entretiennent dès qu’ils se croisent dans la rue et sur les essais de dagues de jet ou de sabres auxquels ils s’attèlent ensemble quand ils en ont le temps. Ce sont les seules fois où Qahir Phylès, grand marchand d’armes du quartier du « Paradis » ferme sa boutique pour aller se distraire un peu…


Signes particuliers : on peut noter chez Qahir une couleur de cheveux terriblement voyante : il est roux mais ses cheveux brillent tel un soleil ardent dès qu'ils sont exposés à une vive lumière.



Histoire :

Le passé de Qahir fut quelque peu mouvementé sans pour autant en devenir chaotique. Né d’une mère inconnue, son père dut l’élever, selon sa vision de l’éducation à recevoir d’un père. Jamais Pélops ne comprit l’intérêt de dorloter quelque peu un enfant en bas âge, ce qui forgea un caractère peu sentimental à Qahir. L’autre côté de l’éducation de papa Phylès, et de ce point de vue-là il fut des plus prévoyants, fut d’inculquer à son fils l’art du maniement des armes, que ce fussent poignards, haches, sabres ou encore bien d’autres engins utilisables pour le combat singulier. Qahir développa immédiatement une adresse notable à la hallebarde : le seul passe-temps que son père lui eût jamais proposé fut un entraînement à valeur de jeu dans la cour de l’immeuble dont ils occupaient le second étage. Qahir adora cette petite distraction, si bien que son père fut obligé de dépenser plus d’argent dans l’achat de bonshommes en paille qu’il ne l’avait jamais fait… Mais cela n’empêchait pas la petite famille de prospérer dans le quartier car le commerce de dagues de papa Phylès était le plus renommé de tous ceux de la ville. De là vient le métier de Qahir, commerçant d’armes. Son père aimait tout particulièrement les dagues dont il avait fait la spécialité de sa boutique, et particulièrement les dagues de jet : il ne vendait pas autre chose que cela. Qahir, lui ne montrait pas de passion apparente pour quelconque moyen d’attaque, si ce n’est ce magnifique coup de hallebarde que les entraînements à répétition de son père lui avaient conféré. Il décida donc de reprendre l’échoppe de son père mais en ôtant sa spécialisation dans les armes courtes ou de jet. Tout ce remaniement plut beaucoup à Pélops Phylès, qui décéda malheureusement à la fin d’un des hivers les plus rudes que la famille Phylès eût jamais connus. La mort de son père encouragea encore Qahir dans son entrée dans la vie active. Il termina du plus vite et du mieux qu’il pût la transformation du magasin de son père et lança aussitôt la vente d’armes de toutes sortes. Le jeune homme de l’époque eut quelque problème concernant le nom de sa boutique. Il désirait changer le nom de celle de son père, qui d’ailleurs ne convenait absolument pas au caractère général de la boutique : « Dagues de jet mais pas jetables »… On retrouva immédiatement l’humour de papa Phylès dans celui de son fils. Dès l’ouverture du commerce, les passants et les connaisseurs eurent le sourire aux lèvres en lisant sur l’enseigne : « Armes à gogo ».


Animaux de compagnie :
Qahir n’a jamais aimé avoir des animaux dans ses pattes. Son père avait bien un chat, mais ce dernier est mort avec son maître, dans cet hiver dont beaucoup de personnes se souviennent, pour le nombre de morts qu’il a fait. Qahir déteste par-dessus tout la présence d’animaux dans sa boutique car il sait combien ils sont dangereux près de choses fragiles…


Armes :
Qahir Phylès déteste l’avouer aux gens, mais il porte toujours une dague sur lui, rangée dans un magnifique fourreau que son propriétaire ne montre jamais pour qu’on ne le flatte à ce propos. Qahir est modeste, malgré ce que disent certaines personnes le connaissant mal ; en-dehors de cet inquiétant poignard, notre ami ne porte pas d’armes : il dit lui-même qu’elles ne servent à rien quand on est commerçant… de ces dernières.


Relations particulières :

La seule connaissance de Qahir Phylès méritant un approfondissement mérité est cette jeune fille qui s’arrête souvent devant son étalage pour observer les armes… Elle montra tout d’abord une indifférence complète envers le vendeur de ces objets, mais au bout d’un certain nombre de visites, elle fut bien obligée de discuter avec Qahir, qui adorait « taper la convers’ » avec ses clients réguliers ou même les passants les plus courants. Ils finirent par se lier d’amitié, mais d’une amitié basée sur la seule venue de cette cliente pas vraiment comme les autres…


De l'autre coté de l'écran :

J'ai 13 ans, c'est un camarade de classe qui m'avait donné l'adresse de ce forum. Ce dernier m'a inscrit à ma demande. Après trois semaines à bosser sur ce satané mot de passe du Contrôle Parental (qui bloque à peu près tous les forums...), je suis arrivé à le déconnecter et à débarquer dans ce fabuleux monde imaginaire. J'ai écrit ma fiche, un peu à la va-vite je dois l'avouer... Et maintenant je suis là, je cherche un avatar par-ci, j'édite ma fiche par-là, je m'occupe en attendant mon tour d'écrire une seconde fiche, à laquelle je suis déjà en train de réfléchir. Bonne chance à tous ici (et c'est moi qui dis ça...),

Qahir PHYLES.


Dernière édition par Qahir le Sam 17 Mai - 15:25, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Tin
Déesse suprême
Déesse suprême
Tin


Nombre de messages : 268
Localisation : Quartiers plutôt pauvres
Date d'inscription : 31/01/2007

Référence rapide
Apparence: Déesse principale de la religion, représentée comme une femme à la beauté fatale, aux cheveux sombres et aux lèvres pulpeuses. Sa cruauté est sans égal.
Métier: Tyran ?
Quartier: Le monde !

Qahir Phylès Empty
MessageSujet: Re: Qahir Phylès   Qahir Phylès Icon_minitimeMer 16 Jan - 16:58

(Attention à la taille de l'écriture, tu as du faire une erreur de manipulation =) )

N'oublie pas de nous prévenir quand tu auras fini ! ;)
Revenir en haut Aller en bas
https://cite-volante.forumgaming.fr
Invité
Invité




Qahir Phylès Empty
MessageSujet: Re: Qahir Phylès   Qahir Phylès Icon_minitimeDim 20 Jan - 17:40

Ben ça y est, j'ai fini.


Dernière édition par Qahir le Lun 3 Mar - 21:01, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Tin
Déesse suprême
Déesse suprême
Tin


Nombre de messages : 268
Localisation : Quartiers plutôt pauvres
Date d'inscription : 31/01/2007

Référence rapide
Apparence: Déesse principale de la religion, représentée comme une femme à la beauté fatale, aux cheveux sombres et aux lèvres pulpeuses. Sa cruauté est sans égal.
Métier: Tyran ?
Quartier: Le monde !

Qahir Phylès Empty
MessageSujet: Re: Qahir Phylès   Qahir Phylès Icon_minitimeLun 3 Mar - 20:47

Désolées pour l'attente,
Ta fiche est validée
J'espère que tu t'en contente
Maintenant que tu peux jouer ;)

(mais quelles rimes pourraves oO)
Revenir en haut Aller en bas
https://cite-volante.forumgaming.fr
Tin
Déesse suprême
Déesse suprême
Tin


Nombre de messages : 268
Localisation : Quartiers plutôt pauvres
Date d'inscription : 31/01/2007

Référence rapide
Apparence: Déesse principale de la religion, représentée comme une femme à la beauté fatale, aux cheveux sombres et aux lèvres pulpeuses. Sa cruauté est sans égal.
Métier: Tyran ?
Quartier: Le monde !

Qahir Phylès Empty
MessageSujet: Re: Qahir Phylès   Qahir Phylès Icon_minitimeLun 16 Juin - 11:14

Bon, on ne va pas le supprimer, ce post, sans en garder une trace... Voici le post de Qahir à l'auberge !

Qahir se sentait réellement épuisé par la longue et dure journée qu'il venait de terminer au magasin. La jeune fille dont il était devenu l'ami ne s'était pas manifestée ce jour-là, il ne s'était donc pas amusé à essayer de nouvelles armes dans l'arrière-cour de la bâtisse où il tenait son échoppe. Il avait sérieusement besoin de passer son début de soirée dans une auberge propre mais animée par des ragots et d'excitantes petites rixes... Le Fil Rouge lui sembla être la meilleure cible pour son cadavre de commerçant acharné après le profit. Il se mit en route, après avoir glissé un baiser d'au revoir dans le cou de sa femme. Il arriva en quelques minutes à la porte de la taverne, qu'il poussa nonchalamment tandis qu'il fredonnait, depuis quelques minutes déjà, un air populaire bien connu dans les hauts-quartiers de la Cité, qu'il avait déjà visités et habités pendant son enfance, en vacances. Cet air parlait d'une femme...

Sans ses cheveux qui volent
J'aurai, dorénavant,
Des difficultés folles
A voir d'où vient le vent.

Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.

Je me demande comme
Subsister sans ses joues
M'offrant de belles pommes,
Nouvelles chaque jour.

Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.

Sans sa gorge, ma tête,
Dépourvue de coussin,
Reposerait par terre
Et rien n'est plus malsain.

Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.

Sans ses hanches solides
Comment faire, demain,
Si je perds l'équilibre,
Pour accrocher mes mains ?

Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.

Elle a mille autres choses
Précieuses encore
Mais, en spectacle, j'ose
Pas donner tout son corps.

Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.

Des charmes de ma mie
J'en passe et des meilleures.
Vos cours d'anatomie
Allez les prendre ailleurs.

Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.

D'ailleurs, c'est sa faiblesse,
Elle tient à ses os
Et jamais ne se laisse-
-rait couper en morceaux.

Tout est bon chez elle, y a rien à jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.

Elle est quelque peu fière
Et chatouilleuse assez,
Et l'on doit tout entière
La prendre ou la laisser.

Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l'île déserte il faut tout emporter.


Dès qu'il se fut introduit dans le bâtiment, ses narines lui indiquèrent la présence d'une foule de mets délicieux, et chers par conséquent...

Ça sent bon ici, dites-moi ! Heureusement, ma douce et tendre amie m'a interdit d'emmener plus d'une certaine somme d'argent, sachant mieux que moi que j'aurais envie d'acheter tout ce que je verrais...

Alors, il embrassa la pièce du regard, sans doute pour se distraire de cette intenable odeur d'alcool doux qui embaumait toute l'auberge. Aussitôt qu'il eût commencé à balayer la salle de ses yeux encore pétillants malgré son extrême fatigue, il s'aperçut qu'un attroupement semblait s'être formé autour d'un corps. A force de coups de coude et de roulements d'épaules, il parvint à atteindre la première ligne des spectateurs. C'était une jeune fille, ou jeune femme il ne savait trop, que l'on observait là.

Mais qu'est-ce qui a bien pu lui arriver, à cette poupée ? Elle ressemble quelque peu à ma nouvelle amie de la boutique, mais je doute que ce soit elle.
Je ne discerne aucun signe de souffrance intolérable sur son visage, ses yeux semblent seulement endormis. Et cet aubergiste qui semble complètement affolé par les événements, sait-il ce qui lui est arrivé ? Sûrement, après tout c'est lui qui tient cette taverne, non ?


Il s'avança à grand peine vers le maître de maison, à cause de cette masse compacte qui ne permettait à personne de bouger à son gré. Enfin, après maintes acrobaties pour éviter d'écraser un pied, de percer un œil ou de donner un coup dans le ventre de quelqu'un, Qahir prit la parole devant le gros aubergiste, qui ne le regardait même pas tant il paraissait obnubilé par la présence d'une cliente évanouie dans la salle principale.

"Excusez-moi, mon bon monsieur, sauriez-vous par un quelconque hasard ce qu'il vient de se passer ici ? Je ne vois que désordre et acrobaties de saltimbanques dans ce lieu habituellement plus discipliné que le commun des auberges et tavernes de la Cité Volante."

[ Je sais que ce court récit semble complètement en-dehors de ce qu'il se passe dans la taverne mais j'avais besoin d'un tremplin pour continuer, si l'aubergiste ou quelqu'un d'autre poste un nouveau morceau de récit... ]
Revenir en haut Aller en bas
https://cite-volante.forumgaming.fr
Contenu sponsorisé





Qahir Phylès Empty
MessageSujet: Re: Qahir Phylès   Qahir Phylès Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Qahir Phylès
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: La réserve :: Les livres ôtés des rayons-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser